Pour sourire un peu, retrouvez ici les maximes
et proverbes qui apparaissent dans
la section de droite : "le sage à dit"

Si vous suivez une idée fixe, ne vous étonnez pas de ne pas avancer...

Si tu te frappes la tête sur une cruche et que ça sonne creux, n'en déduis pas forcément que c'est la cruche qui est vide...

Variante : si une cruche se frappe la tête contre un mur et que ça sonne plein, n'en déduis pas forcément que sa tête n'est pas vide...

 Dans la vie il faut accepter d'être parfois le pigeon et parfois la statue...

  Deux choses sont infinies : l'univers et la bêtise humaine mais en ce qui concerne l'univers,  je n'en suis pas encore tout à fait convaincu... (A. Einstein)

 Si vous ne pouvez pas aider alors dérangez, l'essentiel est de participer !

  C'est drôle comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde...

N'en déplaise aux astronomes, un trou noir, c'est troublant ! (R. Devos)

 Soyez gentils avec vos enfants, ce sont eux qui choisiront votre maison de retraite (Coluche)

 Si on n'est pas responsable de la tête qu'on a, on est responsable de la tête qu'on fait... 

 Rien de tout ce qui est fini n'est véritablement achevé tant que tout ce qui est commencé n'est pas complètement terminé ! 

Souriez ! ça ne vous rendra pas plus intelligent mais c'est plus agréable pour ceux qui vous regardent...

Quand le merle chante en Mai... Avril est fini !

 Il y a des gens qui parlent, qui parlent, qui parlent, jusqu'à ce qu'ils trouvent quelque chose à dire... 

On a toujours tort d'essayer d'avoir raison devant des gens qui ont toutes les bonnes raisons de croire qu'ils n'ont pas tort...

 L'ignorant ignore son bonheur car il ne se doute même pas qu'il ignore tout !

Si on mettait tous les imbéciles dans des placards... il ne resterait plus personne pour fermer les portes !

 Une erreur peut devenir exacte, il suffit que celui qui l'a commise se soit trompé

 Un bureau encombré dénote peut-être un esprit encombré mais un bureau vide...

 Le talent supprême c'est de faire croire qu'on en a !

 On ne va jamais aussi loin que lorsqu'on ne sait pas où l'on va...

 De deux choses l'une : soit c'est comme ça, soit ce n'est pas autrement !

 Qui sait rire de lui-même n'a pas fini de rigoler...

 Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison !

 Il n'y a pas de problème qu'une absence de solution ne saurait résoudre...

 Mieux vaut qu'il pleuve un jour comme aujourd'hui plutôt qu'un jour où il ferait beau !

 Les gens qui aiment s'écouter parler, moi j'aime surtout les entendre se taire...

 Il ne faut jamais se marier pour de l'argent, on peut obtenir des emprunts à bien meilleur marché !

 La facilité de parler n'est bien souvent que de l'impuissance à se taire !

 Informaticien : personne qui résoud de manière incompréhensible des problèmes que tu ignorais avoir...

 Un proverbe chinois dit que lorsqu'on n'a plus rien à dire on cite généralement un proverbe chinois...

 Dans la vie il faut accepter d'être parfois le pigeon... et parfois la statue !

Un économiste c'est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il a prédit hier n'est pas arrivé aujourd'hui...

 L'intelligence artificielle n'a que peu de chance face à la stupidité naturelle !

 Il faut deux ans pour apprendre à parler mais toute une vie pour apprendre à se taire...

 Les détails font la perfection, la perfection n'est pas un détail...

 Si ceux qui disent du mal de moi savaient ce que je pense d'eux... ils en diraient bien davantage !

 Quoi qu'il arrive, fais comme si c'était prévu !

 La relativité (A. Einstein) : mets la main dans le feu une minute et cela te semble durer une heure, assis-toi auprès d'une jolie fille une heure et cela te semble durer une minute...

 Tout le monde apporte de la joie chez moi : certains quand ils arrivent, d'autres quand ils repartent !

 Mieux vaut être saoul qu'idiot, ça dure moins longtemps !

 Ah ! les gouvernements ! donnez-leur le Sahara et dans 5 ans il faut racheter du sable !

 Synonyme : mot que l'on écrit à la place de celui dont on ne se souvient plus de l'orthographe...

 Si tu ne peux pas aider, dérange, l'essentiel est de participer !

 Pour faire le moins de mécontents possibles, il faut toujours taper sur les mêmes...
(proverbe Shadock)

 Tout le monde savait que c'était impossible. Le premier imbécile venu qui ne le savait pas l'a fait !

 C'est tellement plus beau lorsque c'est inutile...

 Les experts ? Quelques incapables manipulant des milliers d'imbéciles...

 Attends d'avoir traversé la rivière avant de dire que le crocodile a une sale gueule !

 Mieux vaut un coup de pompe dans l'avion qu'un coup de pompe dans le train ! (Le Chat)

 Il faut croire que le bonheur existe avant de partir à sa recherche...

 Se tromper est humain mais pour vraiment foutre le bazar il faut ajouter un ordinateur...

 Le verbe aimer est difficile à conjuguer : son passé n'est jamais simple, son présent imparfait et son futur toujours conditionnel...

 Si la fortune vient en dormant, ça n'empêche pas les ennuis de revenir au réveil !

 Il est beaucoup plus facile d'exécuter un ordre idiot que d'en donner un subtil...

 Dieu pardonne toujours, l'homme parfois, la nature jamais...

 Mourir, c'est vraiment la dernière chose à faire...

 Le vent fait onduler la flamme de l'amitié mais jamais n'en ternit la clarté...

 A quoi sert de courir si on n'est pas sur le bon chemin ?

 Quand le moment est venu... l'heure est arrivée !

 C'est au pied du mur qu'on voit le mieux le mur ! (JM Bigard)

 Ne regrette jamais le temps passé pour bien faire ce que tu as fait...

 Ce n'est pas parce que quelqu'un l'a fait que ce n'est pas impossible...

 Tout ce qui compte réellement dans la vie ne peut pas être compté et tout ce que l'on peut compter ne compte pas...

 Il est inutile de forcer pour régler un problème, il suffit de prendre un marteau plus gros !

 Il y a des moments dans la vie où tout réussit, il ne faut pas s'inquiéter, ça finit toujours par passer...

 Avec une montre tu sais l'heure, avec deux t'es jamais sûr !

 Ce n'est pas en tournant le dos aux problèmes qu'on leur fait face...

 En technique, si tout semble bien marcher, tu as forcément oublié quelque chose !

 Dis parfois la vérité si tu veux que l'on te croie quand tu mens !

 Les histoires les plus courtes sont souvent... les moins longues !

 Ne comparez pas le mariage à une loterie car, à la loterie, on a toujours l'espoir de gagner !

 N'essayez pas d'étiqueter ce que vous ne connaissez pas...

 Méfiez-vous, en générale, quand une femme se tait, c'est qu'elle a quelque chose à dire...

 Ami ? Rien n 'est plus commun que ce mot mais rien n'est plus rare que ce qu'il signifie...

 La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence car l'intelligence a des limites, elle...

Vis chaque jour comme si c'était le dernier... un jour ce sera le cas ! 

  Plus la fourmi est petite, plus sa tâche est grande...

Tout le monde apporte de la joie au bureau, certains quand ils arrivent, d'autres quand ils repartent !

 Quand tu vois passer sur toi l'ombre d'un pigeon, résiste à la tentation de regarder en l'air...

 On ne peut comprendre la vie qu'en regardant en arrière mais on ne peut la vivre qu'en regardant en avant...

 Il faut se servir du passé comme d'un trampoline, non comme d'un sofa...

 La fragilité est une part importante de la beauté des fleurs...

 Le bonheur n'est pas la destination, c'est le voyage même et ce voyage, c'est notre vie...

Merci à Mr le Maire et à la municipalité de La Verpillière pour m'avoir donné l'occasion de présenter mon livre au public mais aussi pour tous les petits mots d'encouragement de la part des personnes que j'ai rencontrées ce soir. Merci aussi à Mme Pellet pour s'être intéressée à mon ouvrage en tant que correspondante locale de presse. J'ai eu la bonne surprise de découvrir tout un article dans "Le Dauphiné" du mardi 14 Juin, édition Bourgoin-Jallieu & Nord-Dauphiné.

Et bravo aux artistes exposants, il y a de très belles oeuvres à voir.
Quant à ceux qui viendraient ici pour la première fois suite à cette rencontre, je leur souhaite la bienvenue et leur dis peut-être à bientôt à L'Isle d'Abeau !

JC Franck

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Je suis invité à présenter mon ouvrage à l'occasion du vernissage de l'exposition :

"Les artistes de La Verpillière"

vendredi 10 Juin 2011 à 18h
Maison Girier, place du Dr Ogier
La Verpillière

La maison Girier est la maison rouge sur le rond point de l'Hôtel de ville.

N'hésitez pas à venir, l'entrée est libre et l'exposition accueillera de nombreux artistes du 9 Juin au 8 Juillet.

 Adresse du site officiel de la ville de La Verpillière : http://www.laverpilliere.eu/

Suite aux séances de dédicaces pendant lesquelles je rencontre le public, j'ai pu remarquer quelques questions qui intriguent visiblement les gens, ou en tout cas qui reviennent régulièrement dans leurs propos. Je vais essayer ici de répondre à quelques unes d'entre elles.

" Comment se lance-t-on dans un tel projet ? "

Alors ça c'est une bonne question ! C'est un peu fou, il faut reconnaître. Celui ou celle qui n'a que cette idée en tête depuis sa plus tendre enfance et veut en faire son métier, c'est une chose. Mais se lancer dans cette aventure alors qu'on se destine à travailler dans le domaine technique ou scientifique, c'est bien différent.

La réponse, je crois, tient en deux mots : la passion. Du moment qu'on aime écrire et qu'on le fait (certains, et c'est dommage, ne franchissent jamais le cap), du moment que cela vous tient à coeur, que c'est une vraie passion, que vous y consacrez tout votre temps libre ou presque, la question ne se pose plus vraiment. Vous vivez au rythme de vos personnages et de vos histoires, attendant impatiemment chaque jour, de rentrer chez vous après le travail pour reprendre le stylo (maintenant c'est le clavier !), consacrant des week-end entiers à cela, une partie des vacances aussi. Du moment que vous en êtes là, alors la suite logique c'est que tout ce que vous avez mis sur le papier ne peut pas rester indéfiniment dans un tiroir. Il faut que ça sorte à l'air libre, il faut le partager avec d'autres. D'abord quelques proches, et puis vient ensuite l'idée de l'édition.

En ce qui me concerne, je travaille sur ce projet depuis bien des années et une chose est sûre, depuis le début, ou presque, j'ai eu dans l'idée d'éditer mon livre. Pendant longtemps c'était un rêve. Et puis un jour le rêve devient réalité. Ce jour là, c'est un grand jour.

" Comment devient-on écrivain ?"

Celle-ci, c'est la pire de toutes ! Quand on me pose cette question, je suis totalement incapable de répondre. D'abord, je préfère le terme d'auteur à celui d'écrivain. Je trouve cette dénomination assez prétentieuse, je la réserve aux grands auteurs de littérature, mais ceci n'engage que moi.

C'est quoi un écrivain (ou un auteur) ? Quelqu'un qui a écrit un livre ? Si c'est ça, alors, la réponse est déjà donnée : on devient écrivain en écrivant un livre... Blague à part, comment le devient-on, je n'en ai pas la moindre idée.
Une chose est sûre, quand je dis "en écrivant un livre", je ne dis pas "en publiant un livre". C'est très différent. Il y a beaucoup d'écrivains qui n'ont jamais publié, ceci ne les empêche pas d'en être malgré tout. Le terme d'écrivain ou d'auteur ne s'occupe pas de la dimension commerciale.

Après, faut-il avoir des dispositions pour être écrivains ? Certainement, comme pour tout. Il en faut pour être musicien, sportif, bricoleur. Mais aussi et surtout, il faut beaucoup de travail.
N'importe qui ne deviendra pas Mozart ou Hendrix, mais à peu près tout le monde peut apprendre la musique et se faire plaisir, seul ou en groupe, en jouant à son niveau la musique qui lui plaît. Ensuite, suivant les dispositions de la personne, et le travail fourni pour apprendre, le niveau atteint ne sera pas le même, bien évidemment.
Il en est de même du sportif, tout le monde ne peut pas être Maradona mais tout le monde peut jouer au foot, du bricoleur qui se contente de fixer un tableau au mur ou de celui qui construit lui-même sa maison de A à Z, etc.

Ecrire, c'est l'association de deux choses complètement différentes : le contenant et le contenu. La langue d'un côté et l'histoire de l'autre, dans le cas d'un roman. Celui qui arrive à maîtriser ces deux domaines ira forcément loin en littérature.
Certains d'entre nous ont des facilités pour écire, une bonne maîtrise de la langue, mais l'insipiration a du mal à venir, c'est "l'angoisse de la page blanche". Moi, et c'est une chance, je le reconnais, c'est l'inverse. Mon imagination déborde mais quand il faut coucher tout cela sur le papier, aïe ! cela ne se passe pas toujours bien, pas souvent même ! C'est l'angoisse du paragraphe que j'ai déjà modifié cinq fois et qui n'est toujours pas bon, tordu, limite incompréhensible, plein de redites, etc.
Durant toutes ces années, j'ai donc appris à écrire mieux, mais je ne serai jamais Victor Hugo ou Tolkien ! Tant pis. J'ai fait des progrès (quand je vois mes premières feuilles, je n'ai aucun doute à ce sujet) et j'espère encore en faire mais je n'ai pas beaucoup d'espoir d'arriver à faire du "bon du premier coup". Aujourd'hui encore, quand j'écris une heure, derrière je passe quatre heures à corriger (allez, disons trois...).

Etre un auteur, c'est peut-être beaucoup d'insipiration, c'est vrai, mais c'est aussi beaucoup de transpiration !

"Combien de temps faut-il pour écrire un livre comme celui-ci ?"

Aaaah ! Je l'aime bien celle-là. Et pour cause, cela fait tellement d'années que je travaille sur ce projet ! Que répondre ?
J'ai passé dix ans dessus, six mois pour écrire l'histoire et neuf ans et demi de correction pour la mettre dans un français qui tienne à peu près la route !
Depuis, j'en ai écrit d'autres, puisque ma trilogie est terminée dans mes cartons (comme j'ai déjà dû le préciser quelque part dans ce blog). Les derniers, c'est plutôt six mois pour écrire (ça ne change pas) mais un an pour corriger peut-être, c'est difficile à dire.
Une chose est sûre, tout dépend du temps qu'on y passe ! Si je pouvais consacrer huit heures par jour à l'écriture, cela irait beaucoup plus vite...

"D'où vous viennent toutes ces idées ?"

Alors là, autant le dire tout net, je suis totalement incapable de répondre à cette question ! C'est mon imagination. Une chose est sûre, ça ne vient pas en 5 mn, ni même en quelques heures. Jours après jours, mois après mois, je note des idées qui me viennent tout à coup, sans savoir ni pourquoi ni comment (ni d'où !) et je les garde dans un coin. Ce sont les idées principales et quelques idées secondaires. Après, je jour où je me mets à rédiger, j'ai le fil conducteur en tête et j'assemble ces idées comme un jeu de construction mais le corps du texte, je l'écris tout simplement comme cela me vient. Parfois c'est un peu laborieux, notamment les transitions entre les parties, et parfois (hélas c'est plus rare) c'est une véritable boîte de Pandore et je n'arrive plus à m'arrêter, les idées arrivent plus vite que je ne peux les écrire. Dans ces moments là, c'est un vrai bonheur. C'est véritablement exaltant.

 "C'est difficile d'écrire un livre comme celui-ci ?"

Question un peu étrange à mon avis, et pourtant elle revient régulièrement. La réponse est immédiate, pour moi : non. C'est beaucoup de travail, c'est sûr, c'est beaucoup de temps passé à remplir des pages sur le papier ou à l'écran, mais non, ce n'est pas difficile. D'ailleurs si ça l'était, je ne l'aurais jamais fait !
La seule chose qui pourrait être difficile c'est si un jour je devais écrire un nouveau tome dans un temps donné, et un temps relativement court. Là, oui, cela me poserait un problème. Mais pour l'instant, cela ne s'est jamais produit, je prends mon temps. J'écris mon livre quand j'ai toutes les idées en place et qu'il ne reste plus qu'à rédiger. Et cette phase de préparation, de mise en place des idées, elle dure plusieurs années, alors que je travaille sur le ou les tomes précédents.

 à suivre...

Un grand merci à Majolire Vienne pour m'avoir (très bien) accueilli dans leurs murs, et bien sûr merci à celles et ceux qui ont franchi le pas et que j'espère voir bientôt sur ce site.
Je ne leur dirai qu'une chose : Bienvenue en Alendhie !

JC Franck

Je serai en dédicace le samedi 28 Mai 2011 au magasin Majolire de Vienne (38),
l'après-midi de 14h à 19h.

Librairie Majolire

19 Cours Brillier
38300 Vienne
Tel : 04 74 85 09 50

http://www.majolire.fr/rencontres/dedicace-j-c-franck-chez-majolire-vienne